Devenir propriétaire d’un mobil, cela peut être intéressant. Vous posséderez une résidence secondaire, vous bénéficierez d’une nouvelle source de revenus, vous serez exonéré de la taxe d’habitation, vous aurez un bien mobilier que vous pouvez entretenir, rénover et revendre. Mais, il faut quand même peser le pour et le contre sur l’achat, la location d’un terrain dans un parc ou hôtel de plein air, l’obligation de changer régulièrement de mobil home pour satisfaire la forte demande locative.
Le montant de l’achat
Souhaitez-vous investir dans un mobil home d’occasion ou un neuf ? Voilà la première question à laquelle il faut répondre. Un mobil home neuf vous coûtera entre 30 milles et 60 milles euros tandis qu’un d’occasion, vous pouvez en obtenir dès 15 milles euros. Pour ce dernier, s’il y a des rénovations ou réparations à entretenir, vous devez prévoir d’autres dépenses. N’oubliez pas le frais de transport, depuis le vendeur jusqu’à l’endroit où vous l’installerez. En revanche, vous n’aurez pas à régler le notaire puisqu’il s’agit ici d’un bien mobilier et non immobilier.
Choisissez un terrain adapté
En achetant un mobil home que vous aimeriez mettre en location en vue d’une rentabilité, vous devez choisir un terrain. Lequel vous convient le mieux entre un camping, un parc résidentiel de tourisme, une ferme, chez vous ? Quel que soit votre choix, privilégiez un lieu ouvert à l’année ou, au moins, ouvert sur plusieurs mois. Ainsi, votre mobil home sera mis en location sur une longue période, sachant que vous devez aussi régler la location du terrain qui s’élève à environ 5000 euros par an.
Le mobil home : une résidence secondaire
Si vous occupez votre mobil home, il faut que vous déteniez une autorisation de la part de la mairie dans le cas où vous vous y installez sur un longue période. Cela peut être à cause de grands travaux que vous effectuez chez vous. Vous ne devez donc pas en posséder pour en faire votre résidence principale. Si vous ne voulez pas le mettre en location, vous aurez de belles vacances dans votre logement secondaire, sans devoir payer la taxe d’habitation ni la taxe de séjour.